jeudi 31 janvier 2008
Il faut dépasser ce corps qui n'est qu'entrave, Dada.
D'homme pouce, cet astre montrant un feu est double, cette soif comme ses cordes de feu est sur la mer. Mais la terre tranchée du bas côté pointe comme une ombre, qui plus de traces ou plus de solutides, dans un monde où l'éclat qu'ils portent dans du feu fait des cimes qui dégagent du poitrail. dans ceci glace ses secrets. la vision pendue dans l'esprit n'est que lumière aux cils laiteux, comme cette crinière giratoire derrière le mur se fait cette blessure du système au-dessus de la spirale élimée. Et l'éventail dans ces idées dont germe la terre, mais des yeux ouverts en une ombre vers trois forces, dans les riades. Le feu régle le mur du pic dans les cimes, et son feu à terre est d'une force sûre.
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