lundi 19 septembre 2011

J'ai peur du froid terrible
qui épuise les amants,
Vont-ils chercher leur mort dans les brasiers d'autrefois ?
La mer retient son souffle
pas une parcelle de vent pour l'écume bouillonnante, la mer
retient son souffle face à la mélancolie de la grève,
blanche de pluie,
dénuée d'attraits.

Été




Nous deux dans le jardin, parmi les gravats, des mûres et des murs à nos pieds, dans la lumière du soleil descendant, parlant de notre amour impossible.